Les recherches médicales indiquent que la santé et la longévité reposent sur une alimentation qui respecte certaines normes de nutrition et de salubrité. Je ne suis pas un spécialiste de la nutrition mais j’ai constaté que de plus en plus de recherches montrent comment il faut se nourrir pour éviter les maladies cardiaques et autres ainsi que pour vivre plus longtemps en bonne santé. Aujourd’hui, à cause des recherches faites au cours des cinquante dernières années, la médecine peut nous conseiller pour se nourrir afin de vivre plus longtemps et en santé. Il nous est ainsi plus facile d’éviter des habitudes de vie nuisibles. Dans les hôpitaux, on trouve de plus en plus de spécialistes en nutrition pour conseiller ceux qui peuvent et veulent améliorer leur alimentation et leur nutrition.
Évidemment, on commence par nous dire de cesser de fumer parce que plusieurs conditions médicales se développent après des années de fumage. C’est dans cette perspective que j’avais mis sur pied le programme de lait-école dans les écoles primaires du Québec parce qu’un fort pourcentage de jeunes élèves arrivaient à l’école sans avoir déjeuné. Que les élèves soient les enfants de parents riches ou pauvres, le pourcentage des enfants qui n’avaient pas déjeuné avant d’arriver à l’école était équivalent, même si les raisons pouvaient être différentes.
Aujourd’hui, il faudrait davantage faire connaitre le rôle du service d’inspection des aliments du Ministère de l’Agriculture, des Pêches et de l’Alimentation qui a le rôle de s’assurer du respect des règles de salubrité et d’hygiène des aliments produits au Québec. Ce devrait être une excellente occasion de faire connaître le rôle de ce service d’inspection alimentaire sur notre territoire à partir de l’inspection de nos produits agricoles, de nos viandes et de nos produits marins. Ce serait aussi une bonne façon de faire connaître le système de salubrité qui entoure notre production agricole et alimentaire. Il serait bon de s’assurer que les Québécois connaissent mieux les règles de salubrité suivies et le système d’inspection permanente des viandes du Québec qui y sont produites. Les vétérinaires et les inspecteurs alimentaires jouent un rôle important au sein du Ministère de l’agriculture et il serait bon de le faire connaître et reconnaître par le grand public.
Comme les aliments et leurs qualités nutritives constituent un élément essentiel pour vivre plus longtemps et en bonne santé, il vaut la peine que le gouvernement du Québec fasse connaître son rôle et ses responsabilités vis-à-vis les produits alimentaires d’ici dont les consommateurs s’approvisionnent. Il doit faire savoir comment il règlemente les produits chimiques qui sont utilisés pour arroser les produits agricoles, fruits et légumes, pour que les consommateurs sachent mieux de quelles façons ils sont protégés par les systèmes d’inspection alimentaire du Québec. Les consommateurs québécois sauront qu’ils sont mieux protégés en consommant des produits québécois plutôt que des produits importés dont ils ne connaissent pas les règles qui ont été suivies dans différents pays.
Les consommateurs québécois sont de plus en plus soucieux de connaître comment les aliments sont produits et quelles règles sont suivies. Ils veulent des produits sains ! Ils ne veulent pas d’aliments faits avec des produits génétiquement modifiés et surtout ils veulent connaître ceux qui ont été génétiquement modifiés. Mais pour cela, il faut que cela soit indiqué.
L’alimentation et les qualités nutritives des aliments seront de plus en plus au cœur de notre façon de nous nourrir. Notre Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation doit avoir en tête cette préoccupation et les consommateurs québécois doivent être sûrs de pouvoir lui faire confiance et exprimer leurs attentes.
Pour rejoindre Jean Garon: [email protected]
Évidemment, on commence par nous dire de cesser de fumer parce que plusieurs conditions médicales se développent après des années de fumage. C’est dans cette perspective que j’avais mis sur pied le programme de lait-école dans les écoles primaires du Québec parce qu’un fort pourcentage de jeunes élèves arrivaient à l’école sans avoir déjeuné. Que les élèves soient les enfants de parents riches ou pauvres, le pourcentage des enfants qui n’avaient pas déjeuné avant d’arriver à l’école était équivalent, même si les raisons pouvaient être différentes.
Aujourd’hui, il faudrait davantage faire connaitre le rôle du service d’inspection des aliments du Ministère de l’Agriculture, des Pêches et de l’Alimentation qui a le rôle de s’assurer du respect des règles de salubrité et d’hygiène des aliments produits au Québec. Ce devrait être une excellente occasion de faire connaître le rôle de ce service d’inspection alimentaire sur notre territoire à partir de l’inspection de nos produits agricoles, de nos viandes et de nos produits marins. Ce serait aussi une bonne façon de faire connaître le système de salubrité qui entoure notre production agricole et alimentaire. Il serait bon de s’assurer que les Québécois connaissent mieux les règles de salubrité suivies et le système d’inspection permanente des viandes du Québec qui y sont produites. Les vétérinaires et les inspecteurs alimentaires jouent un rôle important au sein du Ministère de l’agriculture et il serait bon de le faire connaître et reconnaître par le grand public.
Comme les aliments et leurs qualités nutritives constituent un élément essentiel pour vivre plus longtemps et en bonne santé, il vaut la peine que le gouvernement du Québec fasse connaître son rôle et ses responsabilités vis-à-vis les produits alimentaires d’ici dont les consommateurs s’approvisionnent. Il doit faire savoir comment il règlemente les produits chimiques qui sont utilisés pour arroser les produits agricoles, fruits et légumes, pour que les consommateurs sachent mieux de quelles façons ils sont protégés par les systèmes d’inspection alimentaire du Québec. Les consommateurs québécois sauront qu’ils sont mieux protégés en consommant des produits québécois plutôt que des produits importés dont ils ne connaissent pas les règles qui ont été suivies dans différents pays.
Les consommateurs québécois sont de plus en plus soucieux de connaître comment les aliments sont produits et quelles règles sont suivies. Ils veulent des produits sains ! Ils ne veulent pas d’aliments faits avec des produits génétiquement modifiés et surtout ils veulent connaître ceux qui ont été génétiquement modifiés. Mais pour cela, il faut que cela soit indiqué.
L’alimentation et les qualités nutritives des aliments seront de plus en plus au cœur de notre façon de nous nourrir. Notre Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation doit avoir en tête cette préoccupation et les consommateurs québécois doivent être sûrs de pouvoir lui faire confiance et exprimer leurs attentes.
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