Saint-Bruno-de-Montarville, le 3 mai 2013 - Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, M. Pierre Duchesne, le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, ainsi que le ministre fédéral de l’Industrie et ministre d’État (Agriculture) Christian Paradis sont fiers d’inaugurer aujourd’hui la Plateforme d’innovation en agriculture biologique de l'Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA), à Saint-Bruno-de-Montarville.
À ce sujet, le ministre de l'Industrie et ministre d'État (Agriculture), M. Christian Paradis, a fait savoir : « Cette infrastructure permettra assurément d’intensifier la croissance du secteur de l’agriculture biologique au Québec, non seulement en améliorant la compétitivité des producteurs, mais également la performance environnementale des fermes. Il s’agit, ici, d’une démonstration convaincante d’une utilisation efficace du Fonds Agri-flexibilité ».
« Cette Plateforme s’avère une installation de classe mondiale qui permettra à l’IRDA d’augmenter sa compétitivité dans un secteur en pleine expansion et ainsi, attirer et retenir des chercheurs de haut calibre. La recherche, le développement et le transfert des connaissances dans le domaine de la production végétale biologique permettront de mettre à profit l’expertise de nos chercheurs et de nos producteurs agricoles. Soutenir l’excellence de la recherche et de l’innovation et s’assurer d’en faire bénéficier toute la population du Québec demeurent une de nos priorités », a mentionné le ministre Duchesne.
La Plateforme d’innovation en agriculture biologique permet de réaliser des activités de recherche, de développement, de transfert et de formation en matière de production végétale biologique. Elle est, pour les chercheurs de l’IRDA et leurs partenaires, un immense laboratoire à ciel ouvert ainsi qu’une gamme d’équipements et de services de pointe exclusifs qui ne sont pas disponibles ailleurs au Québec, ni même au Canada.
« La production biologique répond à une demande croissante de la population québécoise pour des aliments sains et produits selon des techniques à faible empreinte environnementale et le plus naturel possible. La nouvelle infrastructure apportera un soutien à l’industrie de l'agriculture biologique en accélérant la découverte et l'adoption de solutions répondant aux besoins des agriculteurs et des entreprises québécoises à l’œuvre dans ce secteur d’activité », a ajouté le ministre Gendron.
La Plateforme profitera aux exploitations certifiées en agriculture biologique, mais aussi à celles qui sont engagées dans un processus de conversion vers l’agriculture biologique. Les résultats de recherche serviront également aux producteurs qui pratiquent une agriculture durable.
Rappelons que l'IRDA est un organisme de recherche à but non lucratif qui a été constitué en 1998 par le gouvernement du Québec et l'Union des producteurs agricoles (UPA).
L’IRDA a pour mission de réaliser des activités de recherche, de développement et de transfert en agroenvironnement visant à favoriser l’innovation en agriculture, dans une perspective de développement durable. Chaque année, l’Institut réalise une centaine de projets de recherche en partenariat avec divers acteurs du milieu agricole et du domaine de la recherche.
Montage financier
La contribution financière des partenaires engagés dans ce projet est de 13 132 343 $. Le gouvernement du Québec contribue pour environ 80 %. Ainsi, en vertu du Programme de soutien à la recherche, volet « Appui au financement d’infrastructures de recherche », le MESRST accorde 8 372 109 $. Le MAPAQ y investit pour sa part une somme de 1 200 000 $. 2 170 000 $ proviennent du Fonds Agri-flexibilité d’Agriculture et Agroalimentaire Canada. Le montage financier est complété par l’IRDA lui-même et la Fondation de la faune du Québec.
Sources : Margaux Stastny Directrice des communications Cabinet du ministre d'État (Agriculture)
À ce sujet, le ministre de l'Industrie et ministre d'État (Agriculture), M. Christian Paradis, a fait savoir : « Cette infrastructure permettra assurément d’intensifier la croissance du secteur de l’agriculture biologique au Québec, non seulement en améliorant la compétitivité des producteurs, mais également la performance environnementale des fermes. Il s’agit, ici, d’une démonstration convaincante d’une utilisation efficace du Fonds Agri-flexibilité ».
« Cette Plateforme s’avère une installation de classe mondiale qui permettra à l’IRDA d’augmenter sa compétitivité dans un secteur en pleine expansion et ainsi, attirer et retenir des chercheurs de haut calibre. La recherche, le développement et le transfert des connaissances dans le domaine de la production végétale biologique permettront de mettre à profit l’expertise de nos chercheurs et de nos producteurs agricoles. Soutenir l’excellence de la recherche et de l’innovation et s’assurer d’en faire bénéficier toute la population du Québec demeurent une de nos priorités », a mentionné le ministre Duchesne.
La Plateforme d’innovation en agriculture biologique permet de réaliser des activités de recherche, de développement, de transfert et de formation en matière de production végétale biologique. Elle est, pour les chercheurs de l’IRDA et leurs partenaires, un immense laboratoire à ciel ouvert ainsi qu’une gamme d’équipements et de services de pointe exclusifs qui ne sont pas disponibles ailleurs au Québec, ni même au Canada.
« La production biologique répond à une demande croissante de la population québécoise pour des aliments sains et produits selon des techniques à faible empreinte environnementale et le plus naturel possible. La nouvelle infrastructure apportera un soutien à l’industrie de l'agriculture biologique en accélérant la découverte et l'adoption de solutions répondant aux besoins des agriculteurs et des entreprises québécoises à l’œuvre dans ce secteur d’activité », a ajouté le ministre Gendron.
La Plateforme profitera aux exploitations certifiées en agriculture biologique, mais aussi à celles qui sont engagées dans un processus de conversion vers l’agriculture biologique. Les résultats de recherche serviront également aux producteurs qui pratiquent une agriculture durable.
Rappelons que l'IRDA est un organisme de recherche à but non lucratif qui a été constitué en 1998 par le gouvernement du Québec et l'Union des producteurs agricoles (UPA).
L’IRDA a pour mission de réaliser des activités de recherche, de développement et de transfert en agroenvironnement visant à favoriser l’innovation en agriculture, dans une perspective de développement durable. Chaque année, l’Institut réalise une centaine de projets de recherche en partenariat avec divers acteurs du milieu agricole et du domaine de la recherche.
Montage financier
La contribution financière des partenaires engagés dans ce projet est de 13 132 343 $. Le gouvernement du Québec contribue pour environ 80 %. Ainsi, en vertu du Programme de soutien à la recherche, volet « Appui au financement d’infrastructures de recherche », le MESRST accorde 8 372 109 $. Le MAPAQ y investit pour sa part une somme de 1 200 000 $. 2 170 000 $ proviennent du Fonds Agri-flexibilité d’Agriculture et Agroalimentaire Canada. Le montage financier est complété par l’IRDA lui-même et la Fondation de la faune du Québec.
Sources : Margaux Stastny Directrice des communications Cabinet du ministre d'État (Agriculture)
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